Pour se nourrir ou nourrir les autres, pas toujours facile de trouver des réponses pratiques à toutes les questions que soulève le « bien manger ». Comment être responsable dans sa consommation, tant pour l’environnement que pour soutenir économiquement les agriculteur·trice·s ? Peut-on le faire quel que soit son budget ? Lorsque l’Etat est défaillant, quelle place des citoyen·ne·s peuvent-ils prendre pour faire bouger les choses ? Pour ce dernier Casseroles de la saison, Zazie et ses invitées parlent de leurs façons de consommer, de leurs évolutions au cours de leurs vies. Elles racontent comment leur engagement s’est construit en tant que journalistes, la manière qu’elles ont trouvé de parler de ces sujets, dans leur dimension politique, sans effrayer ni culpabiliser. LES INVITÉES Camille Labro, est journaliste au Monde. Elle tient notamment la rubrique « Affaires de goût » dans M le magazine. Elle a publié également plusieurs livres notamment « Fourche & Fourchette, rencontres et recettes du champ à l’assiette » chez Tana Editions et « La Cuisine des marins : voyage à bord des bateaux, recettes de retour de pêche » Editions Gründ, 2014. Céline Maguet raconte sa rencontre avec le vin nature, et Jill Cousin de sa conversion au compost et sa tentative pour arrêter d’utiliser du plastique d’emballage. CRÉDITS Casseroles passe à table est un podcast de Zazie Tavitian produit par Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Musique originale : Théo Boulenger. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. For information regarding your data privacy, visit
A table - Peut-on bien manger en festival ?
Barquettes de frites, sandwichs à la raclette et pintes de bière dans les gobelets en plastique… le festival de musique est une sorte de no-go zone culinaire où l’on peut sans complexe enchaîner les mets et breuvages les plus régressifs, pratiques à avaler debout face à la scène. Est-il possible de bien manger dans ces conditions ? Si oui, comment garder des prix démocratiques ? Et comment réussir à nourrir autant de festivalier·ère·s en étant respectueux de la nature, en faisant attention à l’empreinte carbone et au gaspillage alimentaire ? Réponses des restaurateur·trice·s et festivalier·ère·s de We Love Green. LES INVITÉ·E·S Thomas Grunberg, qui s’occupe de toute l’offre culinaire sur le festival We Love Green, Laure de la fromagerie
A table - Tables solidaires, recettes du lien social
Ouvrir une table est toujours un choix politique : ce que l’on va servir et à quel prix, la manière d’accueillir en son lieu, la décision de s’implanter dans un quartier en particulier, le choix d’y faire venir ou d’y impliquer ou non la population qui vit autour du restaurant. Vanessa Krycève , fondatrice du Recho et Hélène Tavera de l’association 4C sont deux femmes qui ont fait le choix d’ouvrir des lieux dont l’engagement politique est en premier plan, où créer du lien est aussi important que de bien manger, où la cuisine est un espace de partage, où l’on est hôte et invité. Elles racontent leur parcours, leurs engagements et leur conception de la cuisine collective. CRÉDITS Casseroles passe à table est un podcast de Zazie Tavitian produit par Binge Audio. Réalisation : Sébastien Salis et Solène Moulin. Musique originale : Théo Boulenger. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. For information regarding your data privacy, visit
A table - Le fantasme du critique gastronomique
Invité·e à toutes les tables, sans jamais payer son addition, il ou elle peut, par sa plume acérée, détruire d’un trait la réputation d’un·e chef·fe et de son restaurant. C’est ainsi qu’est souvent rêvé la carrière d’un·e critique gastronomique. Un fantasme bien loin de la réalité. Comment devenir journaliste gastronomique ? À quoi ressemble le quotidien des critiques ? Payer son addition garantit-elle son indépendance ? Que mangent les critiques culinaires en dehors de leur métier ? Le numérique donne-t-il à ce métier un nouveau souffle ? LES INVITÉS François Simon, journaliste et critique gastronomique. Il commence sa carrière au guide Gault et Millau. Il tient ensuite une rubrique dans « Le Figaro », puis devient rédacteur en chef du Figaroscope. Il écrit aussi dans « Le Monde magazine ». Auteur de nombreux livres, il anime, pendant deux ans, Paris Dernière, une émission télévisée diffusée sur Paris Première. Il écrit aujourd’hui pour Air France et Purple, entre autres, et anime une chronique sur Arte. Sur son site, simonsays.fr, il raconte ses périples culinaires. Tout ça sans que l’on ne voit jamais son visage. Stéphane Méjanès , journaliste et critique gastronomique, auteur de « Tailler une plume, croquons la critique gastronomique », pamphlet qui dresse le portrait de dix typologies de critiques de la diva à l’influenceur. Sa sortie est prévue le 17 mai 2019 aux éditions de l’épure. RECOMMANDATIONS ET COUPS DE CŒUR À retrouver sur le site binge.audio CRÉDITS Casseroles passe à table est un podcast de Zazie Tavitian produit par Binge Audio. Réalisation : Nicolas Jean Jean. Musique originale : Théo Boulenger. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. For information regarding your data privacy, visit
A table - Vigneronnes, fières et solidaires
Dans les vignes depuis toujours, dans la lumière depuis peu. Longtemps cantonnées aux ramassage des raisins ou à d’autres taches subalternes, les femmes représentent une grande partie de la profession de vigneron·ne·s. Si elles sont de plus en plus nombreuses à produire leur propre cuvée, certaines étiquettes de leur vin ne mentionnent toujours pas leurs noms. Comment s’imposent-elles dans ce milieu parfois très conservateur ? Qu’est ce qu’être une femme à la vigne ? Pourquoi et comment les vigneronnes se regroupent pour parler entre elles ? Doit-on faire attention au genre quand on déguste ou que l’on parle de vin ? LES INVITÉES Marie Carroget , vigneronne au